« Il dit tellement sans prononcer un mot. » Papa partage un message puissant sur l’autisme.

Lorsque l’écrivain James Gattman s’est rendu à Disneyland il y a quelques années avec ses enfants, l’inquiétude le submergeait. Avec une fille de 11 ans bavarde et un fils de 8 ans, Lucas, non verbal et autiste, il craignait non pas le comportement de son fils, mais les appréhensions des autres passagers. Gattman avait consacré huit ans à apprendre comment aider Lucas à naviguer dans un monde souvent mal compris en ce qui concerne l’autisme. Un acte de gentillesse aurait pu changer la donne, mais la cruauté de certains l’avait confronté à des moments difficiles. Les voyages en avion étaient particulièrement stressants, et même le bonheur de Disneyland était obscurci par l’angoisse du vol.

Un jour, alors qu’ils prenaient l’avion, Lucas était plus agité que d’habitude. Ils se sont retrouvés à côté d’un homme que Gattman décrivait comme une combinaison entre un sergent de l’armée et un professeur de sport à la retraite. Gattman redoutait des commentaires désobligeants sur l’excitation de son fils. Quand Lucas s’est mis à jouer sur l’iPad, émettant des cris de joie, l’homme a offert un soutien inattendu en disant simplement : « Vous savez, vous n’avez pas besoin de le tenir tranquille à cause de moi. Laissez-le s’amuser. Il ne dérange personne. » C’était inattendu pour Gattman, qui n’a pu que dire merci.

Ce geste a transformé le reste du voyage. Ils ont discuté de Lucas, de l’autisme et de son impact sur leur famille. L’homme n’était pas du tout irrité par Lucas ; il était simplement curieux. Plutôt que de réagir agressivement à quelqu’un de différent, il a choisi d’être compréhensif et a cherché à mieux comprendre l’enfant et l’autisme. Gattman a alors compris l’importance de sensibiliser à l’autisme. Aimer quelqu’un comme son fils peut susciter des inquiétudes, mais vivre dans une bulle n’est pas une solution. Il existe des personnes prêtes à entrer dans notre monde et à rencontrer des individus exceptionnels comme son fils.

Le simple soutien de cet étranger compatissant, posant des questions respectueuses, est devenu un bel exemple de la manière dont la compréhension conduit à plus de tolérance et d’inclusion pour ceux qui sont dans le spectre de l’autisme.

Vous Pouvez Aimer également
Site d'actualités intéressantes